| 17 juin '13

Nettoyage motorisé Place Tiananmen, à Beijing,. Kim Kyung-Hoon / reuters

Affaire Tapie : comment l'arbitrage a été verrouillé. L'arbitrage Tapie a bien été faussé. C'est la conviction des enquêteurs, qui disposent de suffisamment d'éléments pour établir qu'une "escroquerie en bande organisée" a permis à l'homme d'affaires d'obtenir 403 millions d'euros à l'issue de l'arbitrage soldant son litige avec le Crédit lyonnais. (lire)

L’élection fantôme: plutôt que de s'en prendre à d'éventuelles connivences entre l'UMP et le FN, le PS devrait cogiter sur ce qui a entraîné ce déplacement sur l'échiquier et poussé à l'accentuation des clivages. S'ajoute à cela la déception de l'électorat traditionnel du PS, déçu par une politique économique insuffisamment de gauche. (lire)

Hollande, les crapauds, et le beau temps: que différents responsables socialistes aient évoqué, pour expliquer le résultat de la législative partielle de Villeneuve-sur-Lot, où le candidat PS a été éliminé du second tour, la responsabilité des écolos, celle du beau temps, ou celle de Cahuzac, en dit long sur leur lucidité. (lire)

François de Rugy : «Quand on veut le rassemblement, on ne désigne pas un candidat dans son coin». L'écologiste François de Rugy réagit aux accusations du PS qui reproche aux écologistes d'être responsables de l'élimination du PS au premier tour à Villeneuve-sur-Lot. (lire)

La fragile majorité absolue du PS à l'Assemblée: la majorité devra davantage soigner ses liens avec ses alliés écologistes (17 sièges) et les radicaux de gauche (16 sièges). Pourtant, dès dimanche soir, les ténors de la majorité accusaient les écologistes d'être en partie responsable de l'élimination du candidat socialiste. (lire)

Transparence: le texte arrive ce lundi à l'Assemblée, détricoté en Commission des lois. Le PS défend un projet fidèle aux ambitions, quand l'écologiste François de Rugy regrette certains reculs. (lire)

François Hollande sur M6: j'attends des actes, pas des paroles, alors j'ai zappé. Ses interventions sont à peu près toujours les mêmes, sans vraie surprise, articulées qu’elles sont autour d’un raisonnement usé jusqu’à la corde : "les Français ont peur, donc, il va tenter de les rassurer" (son interview de mars 2013 sur France 2) ; "les Français ne comprennent pas sa politique, donc il va tenter de leur expliquer" (sa prestation sur M6). (lire)

G8, cybersurveillance, libre-échange : Obama face aux Européens.  L'image du "Kennedy noir" est quelque peu ternie par l'accumulation de révélations sur la guerre antiterroriste façon Obama et la poursuite de pratiques mises en place par George Bush et décriées en Europe. (lire)

Désertification: «Nous avons restauré 8.000 hectares qui permettent à 12.000 familles de mieux vivre de leur terre».  A l’occasion de la journée mondiale de lutte contre la désertification, ce 17 juin, SOS Sahel explique que des manières simples de lutter contre l’assèchement des sols existent. (lire)

| 16 juin '13

(Cambon/Urtikan)

Après Cahuzac: la future loi sur la transparence divise les socialistes. Enprogrès. Mais peut mieux faire. Le projet de loi relatif à la transparence de la vie publique, soumis à l’Assemblée à partir de demain, est une avancée dont on retient la reculade. La faute au compromis imposé par l’intransigeance de Claude Bartolone à la volonté de « transparence totale » de François Hollande. (lire)

Gros Lot et Garonne pour le Front national: tout autant que le score du PS il faut en effet regarder de près la percée annoncée du candidat frontiste Etienne Bousquet-Cassagne, 23 ans. (lire)

Des politiques pris la main dans le sac et le cigare au bec: séquence choc du magasine "Cash Investigation" présenté par Elise Lucet et diffusé sur France 2. Une demi-douzaine d'élus, dont d'anciens ministres, surpris en plein déjeuner avec le lobby du tabac. Etrange coïncidence, le cigarettier en question, British American Tobbacco, pratique "l'optimisation fiscale", une jolie manière de dire qu'il échappe à l'impôt en France. (lire)

Pour mieux recevoir Hollande, Capital (M6) renonce à ses deux coupures publicitaires : c’est la première fois qu’il se déplace dans une rédaction depuis son arrivée à l’Elysée, et ses conseillers ont le sentiment de faire un coup. (lire)




Iran: un Président modéré comme Rouhani, ça peut changer quoi? Hassan Rouhani, élu dès le premier tour avec 50,68% des suffrages, succède à Ahmadinejad. Lors de sa campagne, il a promis d'apaiser les tensions avec l'Occident. Et qu'en sera-t-il pour la société iranienne? (lire)